Olivier Bouillon est né en 1989 à Lyon. Il passe sa jeunesse entre la ville et la campagne, en Saône-et-Loire, dans un petit village où ses parents et ses grands-parents habitent une partie de l’année. Il développe, au cours de son enfance et de son adolescence, un goût prononcé pour l’art sous toutes ses formes et s’essaye au dessin, à la musique ainsi qu’à l’écriture, aussi bien de scénarios, de pièces de théâtre que de nouvelles. C’est au lycée qu’il découvre le pouvoir évocateur de la poésie. D’un naturel nostalgique, il prend conscience que le poème peut lui permettre d’immortaliser, pour lui-même, des sensations et des expériences passées. Par la suite, il entame des études de lettres modernes et commence à faire lire ses textes à ses proches. Il s’aperçoit que sa poésie lui permet non seulement de faire perdurer des instants passés sur le papier, mais également de les faire vivre à d’autres qui peuvent soit découvrir son monde intérieur soit, et c’est à ses yeux ce qu’il y a de plus fort, y retrouver le leur. En 2014, il met un terme à ses études afin de se consacrer pleinement à l’écriture tout en travaillant dans des salles de théâtre pour gagner sa vie. Depuis, Olivier Bouillon a publié un certain nombre de ses textes ainsi qu’un premier recueil intitulé Désert et variations en revues. Il fait partie, depuis 2021, de la compagnie ĀBĀN, une compagnie de théâtre lyonnaise.
Ses publications en revues
- « Il y a des poèmes derrière lesquels… », « Le soleil se couche… », « Tes fesses qui se balancent… », in : Verso, n° 186, septembre 2021
- « Il y a des poèmes derrière lesquels… », « le soleil se couche… », « s’emparer d’un rayon… », in : Arpa, n° 129-130, octobre 2020
- « Les jours et les heures s’allongent… », in : Comme en poésie, n° 82, juin 2020
- « Il y a des poèmes derrière lesquels… », « Dans ce désert où toutes saisons se ressemblent… », « Nos souvenirs coulent dans le sablier… », in : Traction-Brabant, n° 88, mai 2020
- « Désert et variations », in : revue Rumeurs, actualité des écritures, n° 6, La rumeur libre éditions, mai 2019
- « Vous qui partez muets sans vous retourner… », « Beau voile de poussière… », « Après la pluie du soir… », « Nos souvenirs coulent dans le sablier… », in : Verso, n° 173, juin 2018
- « Que de fois perdu dans ces jours… », « La nuit tombe sur le désert… », « Quand tout se perd… », « Après l’onirique marée… », « On recrée le passé dans le désert… », in : Voix d’encre, n° 58, mars 2018
- « La nuit tombe sur le désert… », in : Arpa, n° 122, février 2018
- « Dans ce désert où toutes saisons se ressemblent… », « Bien des années plus tard…» in : Possibles, n° 21, juin 2017