1ère partie de Ramdam Fatal
LFant nous narre, dans un soliloque granulaire, des textes équivoques en français, dans une trap de niche. Il n’hésite pas à taper sur des échantillons, freezer la corde du cortex cousu dans les erreurs de syntaxes pour distordre les réminiscences d’oscillateurs harmonisés.
Cet imprévisible accident sonore grogne des errances philosophico-politico-poétique et s’amuse à faire pleurire et épouvoir d’auditeur par le 3ᵉ œil.